Livres, revues

Livres, revues

Auteurs

BONDU Jérôme, CASPAR Pierre, CHARBONNIER Olivier, ENLART Sandra, CRISTOL Denis, FERRAND Jean-Luc, FRACKOWIAK Pierre, MEIRIEU Philippe, HEBER-SUFFRIN Claire et Marc

Ouvrages

  • BONDU Jérôme, Voyage aux pays des réseaux Humains, Lavauzelle, 2011
    Guide pratique pour développer des réseaux humains
    « Le phénomène des réseaux humains, réseaux d’influence, réseaux d’écoles, réseaux politiques, réseaux terroristes, semble plus que jamais occuper le devant de la scène. Mais que se cache t il réellement derrière ces « réseaux » que l’on retrouve dans tous les articles de journaux et sur toutes les bouches. Après un patient travail d’enquête de trois ans, l’auteur livre cet ouvrage qui fait le point sur la question. On y trouvera en première partie un abécédaire qui donne 26 clés d’entrée pour comprendre le phénomène des réseaux. La seconde partie est composée de 130 témoignages, issus de spécialistes des réseaux, mais aussi de chefs d’entreprises, journalistes, politiques, sportifs, chômeurs, SDF. Toutes les composantes de la société sont représentées. Tous présentent avec honnêteté leur vision et leur pratique des réseaux; On y découvre comment les réseaux sont construits et utilisés, dans un langage clair et simple. Cette présentation concrète apporte une lumière nouvelle à un sujet qui charrie beaucoup d’idées reçues. »
    Présentation du livre
  • CASPAR Pierre« La formation des adultes. Hier, aujourd’hui, demain … », Eyrolles, 2011
    La formation des adultes au cœur des évolutions de la société Qu’est-ce que l’éducation et la formation tout au long de la vie ? Doit-on encore investir dans la formation ? Quelle place réserve-t-on aujourd’hui à la formation dans la gestion des ressources humaines et le management ? La crise nous conduira-t-elle à plus d’humanité dans le travail et les rapports sociaux ? Ce livre aide à répondre à ces questions, et à beaucoup d’autres.
    Acteur central du développement de la formation des adultes depuis près de 50 ans, Pierre Caspar livre ici un texte singulier. D’abord parce qu’il s’ancre dans des mutations qui marquent profondément l’évolution des apprentissages à l’âge adulte, qu’il en analyse les sources et les racines pour mieux comprendre leurs développements actuels et leurs devenirs possibles. Mais aussi parce qu’il relate des situations, des événements, des chantiers très concrets, qu’il a vécus personnellement et en position de responsabilité.
    Ce livre n’est pas un travail d’historien ; c’est un livre d’histoires, qui nous conduisent des premiers moments de l’éducation permanente à la société numérique d’aujourd’hui, de la rencontre des ingénieurs et des pédagogues à l’irruption du langage et de la pensée économique dans la formation, et aux investissements immatériels. Tout en tissant des liens entre hier, aujourd’hui et demain. Cela renvoie à un grand enjeu : l’accès aux savoirs.
    Au fond, ce livre ne traite pas seulement de la formation. Il la valorise comme un levier de changement, de progrès, mais il est surtout porté par une réflexion sur la place de l’homme dans les bouleversements que nous rencontrons aujourd’hui, et sur ses capacités à s’y préparer, à y vivre, et à s’y accomplir.
  • CHARBONNIER Olivier, ENLART Sandra, « Faut-il encore apprendre ? », Dunod, 2010
    L’économie de la connaissance connaît une révolution sans précédent. Les modèles traditionnels de l’apprentissage sont totalement bouleversés face au déferlement des savoirs mis à disposition comme jamais. Ce livre tente de dessiner les nouveaux modèles d’apprentissage et explique comment nous allons apprendre demain.
    Sommaire L’apprentissage aujourd’hui. Le choc Internet. Le choc des neurosciences. Les trois mutations majeures dans notre rapport au savoir. Les accès implicite du savoir : jouer, scanner, simutanéïté. Eduquer au traitement de l’information. Quel apprentissage pour demain? Bibliographie.
  • CRISTOL Denis, « Innover en formation », L’harmattan, 2011
    « Comment former autrement en entreprise ? Comment mobiliser l’énergie humaine dans un projet éducatif professionnel ?
    L’auteur propose de revisiter les pratiques habituelles de formation et de concevoir des environnements pédagogiques innovants où il s’agit d’apprendre plutôt que d’« être enseigné ». L’individu n’est plus passif mais devient un véritable acteur face à son apprentissage.
    La première partie de l’ouvrage expose l’innovation en formation ; la deuxième la rend accessible à travers une trentaine de propositions concrètes (créer le sentiment d’unité par une performance artistique, organiser des universités mobiles, utiliser le e-learning et le Web 2.0, créer une université d’été, etc.). Chaque proposition est présentée sous la forme d’un mode d’emploi très détaillé.
    Les exemples réels, les conseils et les exercices pratiques mettent à portée de main ces approches innovantes.
    Cet ouvrage intéressera particulièrement les formateurs, responsables et directeurs de formation qui souhaitent dynamiser l’apprentissage en entreprise, à commencer par celui des managers. »
  • FERRAND Jean-Luc, « L’ingénierie de formation territoriale, entre politique et démarches de proximité », Revue « Éducation permanente, Mai 2011
    « Les territoires subissent directement les conséquences des évolutions économiques et sociales qui agitent la société. A partir d’une tentative de synthèse de ces principaux déterminismes qui, à des degrés divers, interrogent l’emploi, les compétences et la formation, l’article met en évidence les difficultés posées par la simple connaissance des territoires préalables à l’action, ainsi que les pratiques et les questions de l’ingénierie de formation spécifiquement mise en œuvre au niveau des politiques régionales et locale. Il interroge la place et le positionnement des acteurs de la formation dans ces pratiques, la nécessité d’élargir le champ pédagogique traditionnel de la formation, et d’une manière générale, la notion de territorialisation des politiques d’emploi et de formation. »
  • FRACKOWIAK Pierre, MEIRIEU Philippe : « L’éducation peut-elle être encore au cœur d’un projet de société ? », Éditions de l’Aube, 2011
    « La priorité à l’École est loin de se limiter à quelques réformes techniques de l’institution scolaire. Elle interroge tout notre fonctionnement social et toutes nos options politiques.
    Il s’agit de savoir si l’on va se résigner à laisser le darwinisme social – relooké en idéologie du maillon faible – nous submerger, ou si l’on va s’engager dans une société ouverte, où l’on ne désespère jamais de quiconque, où l’on permet à chacun de trouver une place et de continuer à apprendre tout au long de sa vie, où l’on suscite l’intelligence individuelle et collective pour en faire le moteur de notre progrès.
    Plus que jamais, et selon la belle formule de Gaston Bachelard, l’enjeu est là : La société doit être faite pour l’École et non l’École pour la société. » Philippe Meirieu, mars 2008. »
  • HEBER-SUFFRIN Claire et Marc, « Savoirs et réseaux. Se relier, apprendre, essayer », Nice, Les éditions Ovadia, 2009
    Ces Réseaux, nés des questions et des aspirations de leurs initiateurs, se sont enrichis, au fur et à mesure de leur existence et de leurs développements, de questions de société : tant de celles qui se faisaient jour autour d’eux que de celles qu’ils contribuaient à révéler.
    Leur actualité même, manifestée par l’intérêt qu’ils suscitaient, par leur développement non imaginé par leurs premiers promoteurs et par la diversité de leurs mises en œuvre, aurait pu les entraîner vers une dogmatisation fatale. Cela n’a pas été le cas, sans doute en raison de l’attention de certains de leurs acteurs à tisser en permanence action, formation, recherche, communication, construction d’une mémoire commune et recherche de coopérations ; en raison également d’une vigilance très partagée dans les Réseaux à rester reliés en réseaux, en Inter-Réseaux, en réseaux de Réseaux qui s’obligent à de la formation réciproque et à un véritable échange d’expériences.
    Cette actualité socialement reconnue a plutôt développé, pour leurs promoteurs et pour leurs animateurs, une exigence de réajustement des formes, des outils et des analyses. Elle a enraciné une volonté collective de permanence et de renforcement des valeurs (en particulier à travers une Charte). On pourrait parler d’une triangulation efficiente définie ainsi : réalité actuelle /invariants choisis/personnes concernées agissantes.

Voir Bibliographie